Ouverture du Festival national de la chanson chaabi 3ème édition
La troisième édition du festival national de la chanson chaâbi a démarré vendredi 19 septembre 2008, à 22heures précises au Théâtre National Mahieddine Bachetarzi devant un public des grands jours.
C'est en effet un grand jour car c'est l'aboutissement d'une année de travail pour une petite équipe dirigée par Abdelkader Bendamèche qui a sillonné tout le territoire national pour sélectionner les 30 candidats finalistes de cette édition 2008 qui se déroule jusqu'au 25 septembre.
Cette troisième livraison de cette importante manifestation a tenu à rendre hommage à une personnalité historique, compositeur et grand militant de la cause nationale Cheikh Mohamed El Badji (1933-2003).
Abdelkader Bendamèche, Commissaire général de ce festival a été le premier à prendre la parole pour souhaiter la bienvenue au public ainsi qu'à tous les participants. Après avoir situer historiquement ce rendez vous artistique de la capitale, il a donné toutes les statistiques relatives au déroulement de toutes les étapes du festival. Il a invité Mme La Ministre de la Culture qui a rehaussé de sa présence cette cérémonie, pour donner le coup d'envoi de cette manifestation.
Cette dernière visiblement satisfaite de l'organisation de cette 3ème édition, a rendu un vibrant hommage aux grands maîtres qui ont marqués ce genre musical ancestral.
Quatre candidats se sont relayés durant cette première journée, ce sont Aouidet Karim d'Alger –Degui Brahim de Bouira-Benhenda Hmida-Difli Tarek
Ils étaient accompagnés par l'ensemble musical du festival . Composé de 18 musiciens cet orchestre est constitué de musiciens provenant de toutes les régions du territoire national.
La seconde partie était consacrée d'abord à l'hommage rendu à Cheikh Mohamed El Badji en présence de sa veuve et de toute sa famille à qui des présents ont été offerts . Il faut ajouter qu'une Omra a été également offerte à la veuve du cheikh regrétté.
Son fils Said Badji a déclamé une poésie de son père intitulée ya âya idji nhar ( fin du monde ) avant de nous proposer quelques séquences filmées consacrées au maître pour une durée de 10 minutes .
Le grand chanteur Didine Karoum s'est distingué par l'interprétation de 2 chansons de Cheikh Mohamed El Badji pour illustration , avant de céder la place au brillant interprète tenant de l'école ankaouiya qu'il représente magistralement, le jeune Mustapha Benlahcène qui a envoûté la salle pendant prés d'une heure.
Il faut noter qu'une grande exposition a été montée en cette occasion dans le hall central du Théâtre National ,elle est confortée par la présentation de la plupart des diwan , recueils et ouvrages publiés dans ce domaine durant le XXème siècle.
C'est en effet un grand jour car c'est l'aboutissement d'une année de travail pour une petite équipe dirigée par Abdelkader Bendamèche qui a sillonné tout le territoire national pour sélectionner les 30 candidats finalistes de cette édition 2008 qui se déroule jusqu'au 25 septembre.
Cette troisième livraison de cette importante manifestation a tenu à rendre hommage à une personnalité historique, compositeur et grand militant de la cause nationale Cheikh Mohamed El Badji (1933-2003).
Abdelkader Bendamèche, Commissaire général de ce festival a été le premier à prendre la parole pour souhaiter la bienvenue au public ainsi qu'à tous les participants. Après avoir situer historiquement ce rendez vous artistique de la capitale, il a donné toutes les statistiques relatives au déroulement de toutes les étapes du festival. Il a invité Mme La Ministre de la Culture qui a rehaussé de sa présence cette cérémonie, pour donner le coup d'envoi de cette manifestation.
Cette dernière visiblement satisfaite de l'organisation de cette 3ème édition, a rendu un vibrant hommage aux grands maîtres qui ont marqués ce genre musical ancestral.
Quatre candidats se sont relayés durant cette première journée, ce sont Aouidet Karim d'Alger –Degui Brahim de Bouira-Benhenda Hmida-Difli Tarek
Ils étaient accompagnés par l'ensemble musical du festival . Composé de 18 musiciens cet orchestre est constitué de musiciens provenant de toutes les régions du territoire national.
La seconde partie était consacrée d'abord à l'hommage rendu à Cheikh Mohamed El Badji en présence de sa veuve et de toute sa famille à qui des présents ont été offerts . Il faut ajouter qu'une Omra a été également offerte à la veuve du cheikh regrétté.
Son fils Said Badji a déclamé une poésie de son père intitulée ya âya idji nhar ( fin du monde ) avant de nous proposer quelques séquences filmées consacrées au maître pour une durée de 10 minutes .
Le grand chanteur Didine Karoum s'est distingué par l'interprétation de 2 chansons de Cheikh Mohamed El Badji pour illustration , avant de céder la place au brillant interprète tenant de l'école ankaouiya qu'il représente magistralement, le jeune Mustapha Benlahcène qui a envoûté la salle pendant prés d'une heure.
Il faut noter qu'une grande exposition a été montée en cette occasion dans le hall central du Théâtre National ,elle est confortée par la présentation de la plupart des diwan , recueils et ouvrages publiés dans ce domaine durant le XXème siècle.
Walid B
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