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abdelkaderbendameche

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Création : 11/07/2008 à 10:17 Mise à jour : 13/08/2021 à 15:01

CHEIKH EL HADJ KADDOUR DARSOUNI

 CHEIKH KADDOUR    DARSOUNI    BIOGRAPHIE SOMMAIRE 
(قدور درسوني, de son vrai nom Mohamed Darsouni) (né le 8 janvier 1927 à Constantine (Algérie)), est un maître du Malouf (مالوف) constantinois.
Son oncle, Si Tahar Benkartoussa, était également un grand maître du Malouf. Le jeune Kaddour fait ses premiers pas dans la musique en 1933 au sein de l'association Mouhibi El Fen. En 1937, l'association est dissoute et remplacée par El Chabab El Fenni. L'initiation de Kaddour Darsouni se poursuivra avec cette dernière jusqu'au gel de ses activités au début de la Seconde Guerre mondiale.
En 1943, il rencontre Cheikh Khodja Bendjelloul et accède aux techniques et à l'apprentissage du répertoire Malouf. En 1947, il passe pour la première fois à la radio comme chanteur luthiste. Juste après, il rejoint l'orchestre de ceux qui seront ses compagnons de toujours : Maamar Berrachi et Zouaoui Fergani. C'est avec eux qu'il commencera une carrière professionnelle. Il a été souvent sollicité comme flûtiste par les orchestres de Hamou Fergani et Reymond Leiris.
Il participa en 1964 aux travaux du premier colloque National sur la musique Algérienne en tant que membre de la commission de réflexion chargée de dresser un état des lieux de la situation de la musique classique algérienne, de rechercher les voies et les moyens de sa préservation et de son enseignement. À cette époque, il encadre déjà des jeunes, regroupés dans l'association musicale El Moustaqbal El Fenni El Kassentini (المستقبل الفني القسنطيني).
Durant plus de deux années de suite, il s'exile et fuit Constantine et s'installe à Annaba où il est logé dans l'hôtel de Abdelkader Beghdadi, dit Hssen, grand mélomane et Cheikh Haffad. À son arrivée à Annaba, il prend contact avec Cheikh Mohamed Bouhara qui demande à Abdelkader Beghdadi de trouver une solution afin qu'il ne se sente pas seul. Abdelkader Beghdadi prend alors à son compte le logement dans une chambre de son hôtel. C'est à Annaba que lui est donné le surnom de Scoubidou, Darsouni excellant dans l'art d'en fabriqué de tout sorte à ses heures perdus.
En 1967, il obtient la médaille d'or au deuxième festival de la musique arabo-andalouse. Il continue son enseignement au Conservatoire Municipal. Il fait alors partie avec Hassouna Ali Khoudja, Abdelkader Toumi et Mammar Berrachi de la commission qui représentait l'école de Constantine et qui avait comme objectif principal l'écriture des textes: un travail qui a été couronné par la publication de trois ouvrages intitulés El Mouwachahat wa Ezdja (موشحات والزجل).
En 1995, il crée l'association des élèves du Conservatoire du Malouf de Constantine et en 1998, enregistre dix noubats (نوبات) du patrimoine Malouf interprétés par Mohamed Tahar Fergani et Abdelmoumen Bentobbal.
 
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#Posté le samedi 25 avril 2020 05:43

MOHAMED LAMARI BIOGRAPHIE

 
                                   MOHAMED  LAMARI   BIOGRAPHIE       MOHAMED   LAMARI  S'EN EST ALLE

C'est avec une grande de tristesse, que j'apprends la nouvelle de la disparition de mon ami, le grand interprète de la chanson moderne algérienne, les 100.000 volts algériens, comme se plaisaient à l'appeler les éditions de disques des années 70 ainsi que ses milliers de fans en Algérie et en Europe.
 
Allah yerhemou oui ouessâa âalih, Mohamed Lamari était unique en son genre, en sa manière d'interpréter, de se comporter sur scène, d'être dans la vie de tous les jours.Ce grand artiste était un homme heureux, aimable, généreux, honnête et reconnaissant, ce sont quelques traits de sa personnalité. Rappelé par l'éternel, Dieu Le Tout Puissant, Mohamed Lamari laisse pour la postérité une œuvre artistique appréciable et une étoile portant son nom qui scintille dans le ciel artistique de notre pays.
 
Il a été inhumé ce lundi 16 décembre 2019 au cimetière El Kettar d'Alger, accompagné à sa dernière demeure, comme il l'a toujours souhaité, par ses proches parents et amis, ceux qui l'ont toujours aimé, soutenu et admiré.
 
Mohamed Lamari a eu un hommage-reconnaissance  digne de sa grande notoriété et de son immense talent. Organisé par le  Ministère de la culture,  à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref le 5 mai 2012, cette initiative était chargée d'émotion au cours de laquelle il a interprété plusieurs chansons de son répertoire au grand bonheur du nombreux public venu assister à ce moment exceptionnel. Un coffret  constitué  de 10 CD et d'un livre reprenant tous les textes interprétés par Mohamed Lamari a été réalisé  et diffusé ce soir là,à cette occasion . Un coffret  constitué  de 10 CD et d'un livre reprenant tous les textes interprétés par Mohamed Lamari a été réalisé  et diffusé ce soir là,à cette occasion .Mohamed Lamari a reçu la médaille de l'ordre du mérite national au rang « Achir » décernée par la Présidence de la République ,à l'occasion d'une cérémonie organisée le dimanche 16 avril 2017 à l'Opéra d'Alger Boualem Bessaieh.   
 
 Mes sincères condoléances à la famille proche et à la grande famille artistique de notre pays.
 
                                                                                            Abdelkader BENDAMECHE
 
                                           Alger le 16 décembre 2019
                                    
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#Posté le mercredi 18 décembre 2019 06:17

Modifié le mercredi 18 décembre 2019 06:42

MOHAMED LAMARI S'EN ES ALLE

MOHAMED  LAMARI S'EN ES ALLEMOHAMED  LAMARI S'EN ES ALLE
               
Mohamed LAMARI
1940-2019




Figure emblématique de la chanson algérienne, Mohamed Lamaridemeure cet interprète du chant moderne algérien qui avoisine aujourd'hui, la soixantaine d'années de carrière, faites entièrement de succès et de mouvements. 
De parents originaires de Makouda dans la Wilaya de Tizi Ouzou, Mohamed Lamari est né le 11 octobre 1940 à la rue Mont Thabor àla Casbahd'Alger.
C'est le groupe scout Echihab qui l'accueille en 1948, au sein duquel ,il interprète avec brio des chants nationalistes. C'est une période idéale d'apprentissage et de mise en valeur de ses qualités vocales ; un véritable don de la nature. C'est ainsi qu'on le surprend chanter « kelbi médor » (mon chien médor) devant sa maîtresse et ses camarades de classe à l'école Sarouy. Il reprend avec aisance tous les airs en vogue de Abderahmane Aziz, Ali Riahi, Mohamed Touri, Abdelwahab Agoumi, avant qu'il ne se présente tout naturellement à l'émission découverte de jeunes talents (Radio crochet) organisée par l'ASPTT en 1950,  dont le siège est situé à la place du 1er mai (actuelle) puis au cinéma El Djamel à Soustara plus tard.
Son entrée au sein de l'ensemble El Djillaliya dirigé par sa vedette  préférée Abderahmane Aziz, va être déterminante, car ce côtoiement de qualité allait aboutir à l'enregistrement de son premier disque en 1956 « ya bent el houma » titre écrit par Amari Bouchkir.
Après un bref passage au cours dispensé par Cheikh Abdelkrim Dali au Conservatoire municipal d'Alger, où il apprend quelques morceaux de musique andalouse  et de hawzi,, Mohamed Lamari se fixe dans la chanson moderne, grâce aux conseils et à l'encadrement de Mahieddine Bachetarzi, de Abderahmane Aziz et de Haddad El Djillali plus tard.
Les succès arrivent coup sur coup entre 1955 et 1957 date de son interruption en plein milieu de la bataille d'Alger : « Ma Nsitchi » pour Teppaz, « Samoura » pour Dounia, écrits et composés par Haddad El Djillali, sont les deux titres qui scintillent dans le ciel artistique d'Alger et de Paris de l'époque
Il goutte aux affres des geôles du colonialisme durant une année et demi. A sa libération, il se réfugie à Oran, où il reprend une intense activité aussi bien publique qu'en studio d'enregistrement. En 1961 Bruno Coquatrix gérant de la prestigieuse salle parisienne de l'Olympia lui fit une offre alléchante de contrat qu'il dut décliner par solidarité évidente avecla Luttede Libération Nationale qui battait son plein.          
Après l'Indépendance Nationale, Mohamed Lamari devient une véritable mécanique artistique qui sillonnera toutes les régions du territoire national, ainsi qu'une grande partie de la planète lors de semaines culturelles algériennes à l'étranger.
En duo avec Myriam Makéba en 1969 chantant l'Afrique, il offre un hymne au révolutionnaire légendaire Che Guevara, ainsi que d'autres àla Palestineet au Vietnam en guerre, à l'Algérie libre et indépendante de toute évidence. Il réalise l'ensemble de sa carrière avec les compositions de Mahboub Bati, Hadjouti Boualem, Haddad Djillali, Cherif Korteby, Mohamed Mokhtari, Mustapha Skandrani, Rabah Deriassa, Boudjemia Merzak, Abderahmane Lâala, Mustapha Sahnoun entre autres sur des textes de Cheikh El Habib Hachelaf, Mustapha Toumi, Mohamed Bouzidi, Mahboub Bati, Ali Mâachi, Mustapha Kechkoul, Haddadine Mourad, Lamine Bechichi, Rabah Deriassa, Bouchkir Amari, Amar Azzouz etc
L'écrivain et journaliste, Abdelkrim Tazarout lui consacre un livre biographique paru aux éditions Rafar en 2010.
Intitulé « Lamari : le ténor de la Casbah », cet ouvrage de qualité trace le parcours prestigieux de ce monstre sacré de l'histoire musicale algérienne qui nous quitte le lundi 16 décembre 2019 à l'âge de 79 ans
  
Abdelkader Bendamèche
                   
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#Posté le mercredi 18 décembre 2019 06:08

Modifié le mercredi 18 décembre 2019 06:44

7ème édition du festival national de la poésie melhoun



7ème édition du festival national de la poésie melhoun



 

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#Posté le dimanche 29 septembre 2019 11:50

Festival de poésie Melhoune du 25 au 27 septembre 2019

Festival de poésie Melhoune du 25 au 27 septembre 2019

 

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#Posté le lundi 23 septembre 2019 20:11

7ème édition du festival national de la poésie melhoun

Quitte à se répéter en ces temps de restriction budgétaire s'il y a bien un festival qu'il faut conserver contre vents et marées c'est bien le festival national de la poésie melhoun ; il en est cette année à sa 7ème édition dédiée toujours au grand barde Sidi Lakhdar Benkhlouf.
Plusieurs raisons peuvent être évoquées entre autre la préservation d'un patrimoine immatériel à l'échelle nationale pour lequel Mostaganem en est le fleuron et non pas sa seule localité. Il s'agit de la 'parole de nos aïeux' transmise de génération en génération par diverses canaux pour que l'esprit reste toujours en éveil.
A ce jour les Qacidates n'ont pas livré tous leurs secrets ; les recherches continuent et il est démontré chaque fois que l'Algérien subit les affres des invasions, colonisations, ou tout autre injustice ou Hogra, il n'abdiqué jamais et la poésie (chir el melhoune) a servi à éveiller les consciences, mobiliser les énergies et transcender les clivages d'une société que l'on cherchait à soumettre au diktat.
Il y a certainement des éléments d'analyse à développer sur la corrélation entre la parole dite ou émise et le fait d'histoire car l'on sait que le poète se sert d'un art pour concevoir un 'vivre mieux' si ce n'est dépasser une situation stressante du moment, autrement dit 'se défouler'.
En second lieu, si un festival qui est conçu « comme une manifestation où la référence à la fête au réjouissances éphémères événementielles et renouvelées s'inscrivant dans la triple unité de temps, de lieu et d'action » ; pour ce qui concerne ce festival proprement dit , il s'agit chaque année d'une évaluation d'étape et de recherche d'enrichissement du patrimoine par ces mêmes personnes chargées justement d'entretenir la récurrence de la manifestation. Dans le cas contraire, la vivification entamée en 2013 ressentie comme une renaissance d'un art presque oublié et l'aura qui s'en est dégagée n'aura servi que temporairement et confirmera les velléités sur la paternité du Melhoune par nos voisins marocains.
La parole de Sidi Lakhdar Benkhlouf ne sera pas vaine et si ce festival lui est dédié chaque année ce n'est pas par forfanterie. Il est juste temps de passer de l'oralité à l'écrit et de promouvoir de manière plus efficiente la publication d'ouvrages, écrits et thèses relatifs à ce patrimoine.
A l'heure d'internet, les falsifications et usurpations sont courantes. Seuls les travaux universitaires sont à même d'apporter les preuves et de raffermir la crédibilité de nos assertions.
Quant à la poésie melhoune de nos frères marocains, aussi riche qu'elle soit, elle vient prendre sa source en Algérie et devient partie prenante de la poésie melhoune maghrébine.
Pour toutes ces raisons, le festival dans sa 7ème édition se déroulera du 25 au 27 septembre au Théâtre 'Djillali Benabdelhalim'. Même s'il sera réduit à une seule journée, il aura lieu chaque année à Mostaganem.
Durant cette édition un riche programme a été concocté plus de 16 poètes de toutes les contrées viendront déclamer une poésie avec l'empreinte de l' école d'appartenance, 07 artistes donneront chaque jour, à tour de rôle, un concert de chants melhoun bédouins, une soirée musicale avec le passage de plusieurs artistes connus et reconnus par le public clôturera chaque journée.
Outre des projections de documentaires sur la poésie melhoune 'Images et mélodie du festival', un hommage sera rendu à la cérémonie d'ouverture à Cheikh Belkacem Ould Said (1879-1946) et à celle de clôture à Cheikh Zerouk Daghfali (1949-2006), deux personnalités qui ont marqué chacune à sa manière ce patrimoine culturel.
La matinée du 26 a été réservée à des communications qui seront dispensées à la Bibliothèque principale 'Dr Mouay Belhamissi' autour du thème « l'apport du poète du Melhoun dans l'écriture de l'histoire », une pléiade d'universitaires y est programmée.
Abdelkader Bendaamache Commissaire du Festival aujourd'hui Directeur Général de l'AARC accompagné de Dr Khaled Chaalal Yacine, universitaire, chercheur et poète tous deux promoteurs de ce festival ont donné une conférence de presse ce samedi matin pour annoncer le programme. Une bonne heure d'échanges entre personnes convaincues de la richesse de notre patrimoine et qui nécessite plus que jamais une valorisation tant par ce genre d'événements que par l'édition tout support ou par la communication tout azimuth ou encore les travaux universitaires à concevoir ou enfin comme l'avons-nous signalé une traduction de tous les travaux de recherches appliquées sur les qacidates & textes de ces grands poètes souvent plagiés et récits des contemporains sur les œuvres laissées en héritage car ne s'agit-il pas d'un patrimoine universel.
Djamil Hadj Mohamed
Ecrivain-auteur
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#Posté le vendredi 20 septembre 2019 10:21

Modifié le lundi 23 septembre 2019 20:14

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